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Une faim de loup
Année: 2001
Développeur: Infogrames
Éditeur: Infogrames
Site officiel: non
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris/clavier
Particularité: jeu d'arcade

Ce jeu consiste à voler des moutons au nez et à la barbe de leur gardien, et de les ramener entiers à un endroit précis appelé "goal". Les héros en sont Vil Coyote et les cartoons de la Warner. Un jeu pour les gosses, me direz-vous ? GRAVE ERREUR !!! Ne vous fiez surtout pas à son aspect pseudo-puéril. Les puzzles qui vous sont proposés mettront vos neurones en état de surchauffe. Pour les résoudre, vous serez aidés de gadgets tous plus loufoques les uns que les autres et des précieux conseils de Daffy Duck, apparaissant dans des costumes absolument grotesques et hilarants. Ce qui est excellent dans ce jeu, c'est qu'il brise l'aspect binaire classique des jeux d'aventure : en gros c'est ça ou c'est pas ça, sans savoir quelquefois pourquoi. Là, vous pouvez tester une variété impressionnante de stratagèmes avant de comprendre pourquoi on échoue à chaque fois, et quelle est la seule bonne possibilité.
Au niveau technique, des graphismes colorés et des personnages 3D rigoureusement identiques à ceux des dessins animés. Des voix françaises exceptionnelles (surtout celle de Daffy Duck). Des gags à profusion sur le dos du pauvre coyote qui ne meurt jamais. Quelques défauts à noter : un problèmes d'angles de caméras pas toujours judicieux un peu comme "Tomb Raider", les sauvegardes ne se font qu'au début des niveaux, et enfin l'épilogue du niveau 10 est extrêmement difficile. A ce sujet, un très bon joystick ou joypad est de rigueur. Le digne successeur de Lemmings ! On ne peut plus s'en décrocher une fois qu'on y a goûté. Un prix très abordable en plus. Jubilatoire !
Note globale : 17.5/20
jppkeyser




Une poupée pleine aux As
Année: 1996
Développeur: Beam International
Éditeur: Infogrames
Site officiel: non
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic
Particularité: ---

Vous êtes le détective privé : Scott Angel. Carol Klein fait appel à vos services pour retrouver son frère disparu. Vous voilà entouré d'intrigues et de dangers que vous devrez déjouer. L'histoire se déroule en temps réel, à vous de bien planifier vos journées car votre vie peut basculer en une minute. La trame de l'histoire est assez simpliste. Les graphismes sont acceptables pour un ancien jeu comme celui-là.
Note globale : 5/10
Isys




Un voisin d'enfer
Année: 2003
Développeur: JoWood
Éditeur: BigBen Interactive
Site officiel: oui
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic
Particularité: ---

Histoire : Vous êtes animateur de télé, votre objectif est de jouer mille tours à votre voisin. Chaque épisode comporte un certain nombre de tour. Plus vous ferez de farces et plus votre audimat grimpera. Seulement voilà : les épisodes sont chronométrés (mais vous pouvez décider de supprimer cette option), votre voisin se déplace un peu partout, et s'il vous chope en train de lui traficoter ses antennes TV... Enigmes : Le jeu se complique au fil des épisodes, et obtenir 100% d'audimat ne vous posera pas trop de difficultés... au début. Votreprincipale difficulté sera de ne pas se trouver dans la même pièce que votre infortuné voisin. Interface : Le jeu (les dessins rappellent le film Chikken Run, "pâte à modeler") se déroule entiérement à la souris : certains objets sont "cliquables" (le curseur change de forme) : il existe peut-être une action ou un vilain tour à faire. La vue représente toujours la même chose : une maison vue en coupe, des pièces reliées entre elles par des portes. Au début du jeu, seules quelques pièces vont seront accessibles, d'autres vous seront accessibles au fil des saisons.> Durée de vie : On peut reprocher la courte durée de vie au jeu : quelques heures suffisent pour remplir toutes les missions, et guère plus pour obtenir la palme d'or pour les trois saisons (>90% d'audimat sur tous les épisodes). Néanmoins, le joueur conscencieux (ou sadique) se plaira à terminer tous les épisodes à 100%... et là, il faut une bonne dose de stratégie, et pas mal de persévérance. Attention : le jeu est déconseillé aux personnes :
- ayant rapidement des remords
- sensibles, et affectées à leur voisin
- qui ont un coeur gros comme ça
- gentilles de nature
Bref, ce jeu plaira particulièrement à tous ceux (et celles) qui ont une furieuse envie de boucher les toilettes du voisin, de donner des surdoses de vitamine à son poisson rouge, et bien entendu de scier ses haltères lorsqu'il se mettra (enfin) au sport.
Note globale : 8/10
Jupiterry




Urban Runner
Année: 1996
Développeur: Coktel Vision
Éditeur: Sierra
Site officiel: non
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic
Particularité: ---

Vous êtes Max Gardner, un journaliste d'investigation qui essaie de négocier à un truand des renseignements contre des photos compromettantes. Malheureusement, lors de votre rendez-vous, vous le retrouvez assassiné et vous êtes suspecté de sa mort. Dans un premier temps, vous êtes, non seulement traqué par son garde du corps mais aussi par la police et une organisation nommé ELITE. Une seule solution s'offre à vous : trouver le véritable coupable. Les effets sonores sont réalistes et les musiques sont appropriées à l'environnement dans lequel vous évoluez. Si vous avez l'âme d'un policier, ce jeu est fait pour vous..
Note globale : 10/10
Isys

Histoire : Max Garner, un journaliste se trouve mêlé à une affaire de meurtre : il donne rendez-vous à Tony Marcos, un contrebandier, pour échanger des photos compromettantes contre certaines informations. Vous le retrouvez liquidé et vous vous mettez bien vite la police à dos. Vous êtes non seulement poursuivi par un inspecteur vicieux - qui n'hésitera pas à vous coffrer s'il vous trouve - mais aussi par l'organisation qui a tué Tony Marcos ! Vous vous rendez bien vite compte que vous n'êtes pas la seule personne à rechercher cette organisation nommée ELITE… Interface : Des indices vous sont mis à disposition (pas à volonté !) si vous vous retrouvez coincé à un endroit. L'intrigue est passionnante, et l'histoire est captivante ; une fois dans le jeu, vous ne pourrez vous en détacher ! Conclusion : Un jeu peu connu, et pourtant !
Note globale : 10/10
Jupiterry





Uru : Ages beyond Myst
Année: 2004
Développeur: Cyan
Éditeur: Ubisoft
Site officiel: oui
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic
Particularité: ---

Dans ce nouvel épisode de la saga Myst, on ne peut pas parler de suite mais plutôt d’un développement. En effet vous ne suivez plus les traces d’Atrus, mais vous plongez dans son monde enfin ce qu’il en reste à notre époque. La faille du désert (bien connue e ceux qui ont lu le livre d’Atrus), puis la caverne, la ville principale des D’nis. Le but du jeu est essentiellement de retrouver les « voyages », de petites étoffes présentes en peu partout dans cet univers, pour mieux comprendre ce qui leur est arrivé. Une fois passé la faille vous entrez dans un monde qui vous est propre votre « Relto » .De la vous allez partir explorer des mondes crées non pas par Atrus comme dans les épisodes précédent mais par les D’nis aujourd’hui disparus. La principale nouveauté d’ Uru concerne les environnements qui ne sont plus composés d'écrans fixes (comme dans Myst et Riven) ,il n’y a plus non plus le principe de vision à 360 degrés adopté pour l'épisode précédent (Myst III : Exile). Les Ages de Uru sont en fait entièrement en 3D, on a le choix entre la vision troisième personne ou celle a la première personne, la troisième étant conseillée pour certains passages (des zones inexistantes dans les premiers épisode) car la présence d’un avatar nous permet maintenant de courir, sauter, grimper …. Toute action ratée entraînera la sortie du monde joué et un retour au relto. Pas de mort au programme.
Pour ce qui est des mondes on retrouve la patte Myst, mais avec des énigmes moins mécaniques, parfois poétiques, parfois acrobatiques, laissant toujours une grande envie d’aller plus loin… A la sortie de ce jeu il était prévu un jeu on-line qui a hélas été supprimé, pour adoucir les angles la promesse été faite de donner une suite par le biais d’extension, la première « to D’ni nous emmène dans la ville (utilisée durant le live) mais ce n’est que la recherche de marqueurs dissimulés un peu partout dans la cite et permettant de faire redémarrer une machine, il nous faut maintenant attendre d’autres extensions qui seront probablement différentes. Des graphismes parfois légers par rapport à ce que l’on a déjà vu. Une musique prenante, avec la présence d’une mélodie de Peter Gabriel (eh oui si ça pouvait arriver plus souvent ce mélange ce serai fabuleux). Une jouabilité un peu dure au début avec le mélange clavier souris, première et troisième personne. Si les extensions suivent ce jeu deviendra certainement un incontournable espérant le retour du live …
Note globale : 18/20
Carole2003

Alors là pour le coup la Saga Myst nous sort l’avatar à personnaliser, le 100% 360° de liberté en déplacement et en visualisation. Nous avons la possibilité quasi infinie de définir les caractéristiques physique et vestimentaire de notre avatar et aussi de pouvoir jouer en vue à la 1ère personne ou en vue à la 3ème personne. Le gameplay et le graphisme rappelle Real Myst, si on a une bonne carte vidéo on à vraiment de beaux paysages à explorer, ce n’est pas Myst IV Revelation mais ça tient la route quand même. Développé au départ pour pouvoir ensuite jouer en ligne, malheureusement l’expérience à très rapidement avorté et donnera lieu à plusieurs ad’ on de jeu classique. Cette fois nous retrouvons la crevasse en plein désert et des morceaux du télescope de Riven. Il y a toujours des livres de liaisons mais des étoffes au pouvoir de voyage ont fait leur apparition. Nous découvrirons un message holographique de Yeesha qui est maintenant une femme et qui a visiblement beaucoup utilisé ses connaissances de l’écriture. Elle nous demande de suivre son parcours dans la reconstruction de D’ni. Nous allons alors découvrir des univers Mystien, âges créés par et pour les D’ni dans lesquels les énigmes s’enchainent logiquement. Nous entreverrons des lieux qui nous resterons encore inconnus, cependant comme « la fin n’est pas encore écrite » il faut s’attendre à poursuivre bientôt les explorations dans de futurs titres de la Saga.
Note globale : 9/10
Lee_Sterick





Uru to D’ni (Expansion 1 d’Uru)
Année: 2004
Développeur: Cyan
Éditeur: Ubisoft
Site officiel: oui
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic
Particularité: ---

Uru to D’ni est la première expansion téléchargeable d’Uru Ages Beyond Myst, une seconde étant prévue incessamment. L’aventure au cœur de la civilisation D’ni capable de produire des mondes par le biais de l’écriture se poursuit, toujours aussi magique et envoûtante. Uru On-Line a fait long feu mais les concepteurs de Cyan n’ont donc pas dit leur dernier mot, capables de rebondir génialement sur cette expérience avortée en l’intégrant dans cette suite. Les visiteurs, de par leur nombre, et si j’en crois les forums, ils étaient nombreux et affluaient de toute part, ont nui à cette civilisation que les archéologues tentaient de restaurer. La ville d’Ae’gura n’est qu’un amoncellement de ruines cerné par un gouffre, tout comme l’est le Relto ou tout monde mystien. Le Grand Zéro, générateur du site, est inactif. La recherche des marqueurs –il en est plus que nécessaire- , seuls aptes à le ressusciter, va donc vous conduire dans des paysages beaucoup plus sombres et tristes que les fulgurances d’Uru. Pourtant ce désenchantement en demi-teinte, ne nuit en rien à l’immersion totale du voyageur dans sa découverte de la Cité baroque ou de ses périphéries. Le Ki jusque là textuel entre dans l’inventaire à côté du livre Relto : c’est un gadget dont la maîtrise influe sur l’issue du jeu. Les mondes d’Uru coexistent mais l’âme que vous leur aviez restituée s’est à nouveau volatilisée et vous les retrouvez pis qu’avant. Le Relto, refuge, centre et carrefour, continue quant à lui de s’enrichir ainsi que la garde-robe du personnage. Passionnant. A conseiller à ceux qui aiment la marche et le saut à l’élastique sans élastique.
Note globale : 8.5/10
Reardon

« La fin n’étant pas encore écrite » Uru to D’ni qui devait être la suite on-line, avorté, se retrouve être la 1ère extension d’Uru Ages beyond Myst. Nous restons dans l’univers d’Uru, avec le même avatar, les mêmes fonctionnalités, la possibilité et aussi l’obligation de retourner dans les mondes d’Uru pour pouvoir découvrir les ruines un peu lugubres des quartiers de la grande D’ni dans laquelle il va falloir redémarrer une machine en partant à la recherche de marqueurs cibles disséminés dans différents endroits de la ville. Beaucoup de lecture, pas toutes indispensables au déroulement du jeu mais qui apporte beaucoup d’informations sur la culture, les mœurs et les gouvernants successifs du royaume de D’ni. « La fin n’étant pas encore écrite » une fois de plus attendons la suite que nous pouvons commencer à imaginer avec les éléments de lieux encore inexplorés laissés à notre disposition.
Note globale : 8.5/10
Lee_Sterick





Uru : The Path of the Shell (Expansion 2 d’Uru)
Année: 2004
Développeur: Cyan
Éditeur: Ubisoft
Site officiel: oui
Support: pc
Version: Française
Jeu: Souris point & clic ou clavier
Particularité: ---

The Path of the Shell, le chemin du coquillage, seconde extension d’Uru après to D’ni est cette fois commercialisée. Vendue sur CD contenant la première, elle est également présente dans une version complète où figure Uru Ages Beyond Myst, à destination de ceux qui ne connaîtraient pas ce jeu destiné à devenir un classique aux côtés de Myst et de ses suites. Votre avatar, votre alter ego puisque vous pouvez lui prêter vos traits, poursuit donc sa découverte de la civilisation D’ni au travers de quatre ou cinq âges dont deux seulement sont développés –Ahnonay et les sphères, Er’Cana et le moulin – et trois esquissés : Rolep et le sentier, K’veer réduit à une salle et Myst – eh, oui – dans lequel le joueur a droit à une courte incursion dans la bibliothèque. The Path of the Shell est un jeu difficile, mais tout aussi magnifique que ses deux prédécesseurs : baignant dans une musique d’ambiance qui aide toujours plus à l’immersion, le joueur est confronté à une vingtaine d’énigmes dont la résolution est loin d’être évidente.
Cette trilogie forme une somme et possède une unité : l’imbrication des mondes, la récurrence des thèmes, l’objectif de la quête, l’amélioration du Relto – en fin de parcours vous disposerez de 16 feuilles -, la présence latente de Yeesha contribuent à faire d’Uru – j’englobe les trois – un jeu d’une énorme puissance garantissant l’évasion la plus totale dans ce monde virtuel cohérent. L’image est de qualité souffrant cependant parfois de manque de lumière, l’avatar peut maintenant en plus de marcher, courir et sauter, nager la brasse et le crawl … et continuer à enrichir sa garde-robe ou tenir son journal. La seule réserve et elle n’est pas insignifiante que je ferai à cette seconde extension concerne trois énigmes au cours desquelles vous devez pour les résoudre demeurer inactif devant votre jeu pendant un petit quart d’heure : activation des charges, réaction de celles-ci dans le cratère d’Ahnonay, ouverture de l’accès supérieur de Rolep : les concepteurs ont trouvé par ce biais un moyen très artificiel d’augmenter la durée de vie du jeu, sans doute pour répondre au reproche qui leur avait été fait lors de la sortie de D’ni que d’aucuns avaient jugé trop court. On peut aussi trouver à redire sur la conservation du Ki instrument fondamental dans l’épisode précédent mais jouant un rôle tout à fait annexe dans cet ultime volet pour lequel la fin n’est peut-être pas encore écrite, mais que Cyan n’envisage pas de prolonger. Je maintiendrai cependant en dépit de cette critique le ‘passionnant’ que j’avais attribué à To D’ni.
A conseiller à ceux qui possèdent suffisamment de patience pour être encore capable de savourer un plateau de fruits de mer après avoir passé des heures à décortiquer des bulots. Note globale:
Note globale : 7.5/10
Reardon qui déteste attendre.

Cette seconde extension après to D’ni continu de nous entrainer dans l’univers que nous connaissons depuis Uru, de notre relto, à travers cinq âges qui ne sont pas tous développés de la même façon, certains sont de courts passages dans de nouveaux lieux, quand d’autres sont des clins d’œil à des mondes que nous avons déjà traversés dans l’ensemble de la saga de Myst, et enfin de très aboutis dans lesquels les énigmes sont plutôt d’un bon niveau, si ce n’est que je regrette fortement le fait que certaines aient été délibérément associées à un temps d’attente qui ne m’a pas semblé nécessaire voir même trompeur. La magie d’Uru complete chronicle, si on joue les trois opus, donne un jeu d’une excellente longueur où la 3D temps réel pour un jeu d’aventure prend tout son sens.
Note globale : 7.5/10
Lee_Sterick







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